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Si ça ne vient pas de l'AFP c'est que ça n'est pas réellement arrivé!


Décidément c’est la période des règlements de comptes !

Publié par Desmoulins sur 14 Novembre 2009, 13:20pm

Catégories : #Actualités

L'ancien secrétaire d'État aux Sports Bernard Laporte règle ses comptes avec les responsables politiques "grossiers, lâches et étroits d'esprit" qui l'ont "méprisé" pendant son passage au gouvernement, dans un livre "Un bleu en politique" sortie ce jeudi , dont certains journaux en France ont publiés la veille des extraits.

 

Dans ce livre, il raconte son expérience au sein du gouvernement, dénonçant le mépris et la "condescendance" de certains et le "cirque" de l'Assemblée et ses députés qui "beuglent".

Selon les bonnes feuilles d'"Un bleu en politique" (Presses de la Cité) publiées par "le Parisien/Aujourd'hui en France", l'ancien entraîneur du XV de France, qui a quitté le gouvernement en juin dernier lors d'un remaniement ministériel, dénonce l'attitude de "certains" politiques. "Ils me méprisent comme ils méprisent le Français moyen", "ce que certains ne supportent pas c'est que je n'appartiens pas à leur monde", affirme Bernard Laporte, estimant que ce sont des "gens lâches, étroits d'esprits et privilégiés".

Le feu des critiques se porte en particulier sur le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, qu'il classe parmi "les anti-Laporte". "Jamais il ne m'a serré la main pour me dire bonjour", assure l'ancien secrétaire d'Etat, même si "sa condescendance ne m'est pas réservée". "A ses yeux, je passe pour un bouseux. Un rustre, un bouffon même", ajoute-t-il.

L'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati n'est pas en reste. "Alors que j'ai toujours pris sa défense, j'ai été déçu: je l'ai trouvée fausse. Elle a manqué de solidarité à mon égard", juge Bernard Laporte, qui avait démenti être le père de l'enfant de la ministre.

Découvrant "l'envers du décor", le "cirque" de l'Assemblée, Bernard Laporte se dit aussi "choqué" par les "vociférations" des députés, qui "beuglent à qui mieux mieux". Les ministres "se font huer, vilipender, presque agresser", dénonce-t-il.

A l'inverse, il "respecte" et "admire" Nicolas Sarkozy, un "leader", un homme "attachant, passionné, engagé". Il dit aussi son appréciation des "mecs extraordinaires" que sont pour lui "Xavier Bertrand, Hubert Falco ou encore Éric Besson". Et il apporte son soutien à Rama Yade qui lui a succédé, sur le dossier controversé du Droit à l'image collective (DIC).

Et c'est peut-être pourquoi Bernard Laporte dit vouloir rester "adhérent à l'UMP" et peut-être même être candidat aux régionales en Ile-de-France, souhaite-t-il dans un entretien au même journal. Il annonce qu'il va en "discuter en fin de semaine avec Xavier Bertrand", le secrétaire général de l'UMP.

 

Malgré les quelques fleurs lancés de ci de là, Bernard Laporte ne la joue pas très collective non plus, mais venant de la société civile ces écarts lui seront ils plus vite pardonner qu’à Rama Yade (qui semble enclin à se plier au collectif austère de son parti dorénavant) l’avenir le dira. N’empêche un mec qui vous donne gratis des places pour des matchs de foot et de rugby c’est quand même super pour se montrer. Il n’y a qu’à voir comment Philippe Seguin se fixe à la corbeille (qui porte bien son nom d’ailleurs Cherki, Delanoë, Bazin, Boindrieux autant d’incompétents nuisibles en si peu de m2) du Parc des Princes juste pour donner des signes de vie, souvent derrière Belmondo, comme ça il est sur qu’il sera en arrière plan sur les photos qu’on prend de la star !

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